Messages : 594 Date d'inscription : 23/08/2009 Age : 34 Localisation : Dans l'ombre... en train de t'observer.
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Sujet: Komiko Hamura Mer 6 Oct - 21:10
KOMIKO . HAMURA
“Je connais mes limites. C'est pourquoi je vais au-delà“
C'est Ainsi que l'on me voit...
Une beauté fatale ? Peut-être. Provocante à outrance ? Sûrement ! Komiko est séduisante et elle le sait, n’hésitant pas à jouer sur ses atouts. Mesurant un bon mètre cinquante-huit pour quarante-cinq kilos, la jolie nippone peut sembler frêle mais possède des formes aussi généreuse que son sale caractère. Possédant un très joli 95B, elle rappelle souvent aux hommes de la regarder dans les yeux, et non dans le creux de son décolleté plongeant. Portant rarement des jupes ou des robes, elle s’habille quasiment toujours de pantalons en cuir moulants, mettant en valeur son petit derrière. Quant aux couleurs de ses vêtements, une palette plutôt restreinte : noir, rouge sombre et bleu électrique, puis le blanc, réservé aux occasions spéciales. Son visage est fin, pâle comme le reste de sa peau, ce qui contraste avec le maquillage sombre de ses smokey-eyes et le noir de son lipstick. Ses yeux bridés sont naturellement noirs mais Komiko aime porter de temps à autre des lentilles vertes ou prune selon son humeur. Un léger grain de beauté est placé au coin gauche de sa lèvre supérieure. Komiko porte rarement de bijoux, elle privilégie le nail-art, très soigné prodigué par l’esthéticienne de son établissement. Sa devise ? « Des diamants ou rien ! » Superficielle Komiko ? Non, elle aime simplement les jolies choses ! Côté cheveux, c’est autre chose ! N’aimant pas être reconnue au premier abord, elle passe son temps à changer de style capillaire. Courts, longs, noirs, blonds, rouges… ses cheveux en voient de toutes les couleurs, et c’est le cas de le dire !
Mais au Fond Je suis...
Qui a dit que les jolies filles étaient idiotes dans 98% des cas ? Manipulatrice à souhait, calculatrice voire même démoniaque quand elle s’y met, Komiko est maligne et prête à tout pour parvenir à ses fins. Et sa réputation fit vite le tour de Shibuya, quelques jours seulement après son arrivée. De quoi en décourager plus d’une de tenter de lui prendre sa place. Cynique, indépendante et provocatrice comme personne, possédant en plus de cela un grand charisme, notre jolie nippone a l’étoffe d’un chef et inspire la crainte et le respect de ses disciples, voire l’admiration d’après elle. Vantarde et égocentrique ? Bien sûr que oui ! Personne n’est parfait après tout ! Les hommes ? Un passe-temps, une chasse qu’elle aime pratiquer seule ou accompagnée de certaines de ses filles en écumant les boîtes les plus branchées de Shibuya. Et croyez-moi, la jeune femme ne part jamais bredouille. « Lorsque tu auras mûri, tu seras mariée, mère de trois enfants et passera tes journées à veiller à leur éducation et à préparer de délicieux repas pour ton mari ». Voilà ce que lui rabâchait chaque jour son éducatrice, à l’époque où elle vivant encore à l‘orphelinat. Seulement, la belle a grandi, et n’a rien vu d’autre en l’homme qu’un animal ne pensant qu’à assouvir ses pulsions. Les hommes sont pervers, égocentriques, manipulateurs, menteurs… Oui elle les déteste, et c’est pourquoi elle est fière que son clan soit presque composé uniquement de femmes. Les quelques rares hommes faisant parti de son cartel ont une bonne, très bonne raison d’être ici. Et tous ont du faire leurs preuves.
D’une mémoire sans faille, Komiko a du mal à pardonner à ceux ayant trahi sa confiance, chose qu’elle n’offre que très rarement. Peu de gens connaissent son histoire et le visage de la véritable Komiko Hamura. Toute cette façade cacherait-elle une jeune femme fragile ? Apprenez à la connaître et vous verrez bien ce qu’elle vous réserve comme surprise…
Et voici mon Histoire...
Tout histoire a un commencement. Et celui d’une vie commence logiquement par une naissance, et avant cela par une grossesse volontaire ou non. Celle de Yuko Hamura était loin de l’être, bien au contraire. Chef du clan Behinime, ayant reprit le flambeau des générations antérieures, elle régnait sur ce dernier avec une main de fer. Jusqu’au jour où le chef des Kage de cette époque, Chiba Li, agressa la jeune femme et la viola, la laissant ensuite gisante au fond d’une ruelle sombre. La jeune chef fut conduite d’urgence à l’hôpital de Shibuya où elle y passa sa grossesse dans le coma, sous respiration artificielle, avant de mettre au monde un 7 décembre 1986 une petite fille. On put enfin débrancher le respirateur artificiel de la mère, puis on l’enterra quelques jours après. Une fois avoir vérifié que le bébé était hors de danger, il fut envoyé vers un orphelinat au Sud de Tokyo, où on lui donna le prénom de Komiko, n’ayant pour effet personnel que le manteau de cuir de sa mère et un journal rédigé par ses soins.
L’enfance de Komiko se passa sans trop de difficultés. On la jugea discrète, calme, voire même timide. Ce n’est que vers l’adolescence que les soucis commencèrent. Vers l’âge de quinze ans, la jeune Komiko eut sa phase « crise identitaire », et voulait à tout prix connaître ses origines. La lecture du carnet de notes de sa mère pouvait commencer. Petit à petit, elle en apprit plus sur son existence, et celui du clan Behinime, ainsi que ses rivaux, les Kage et les Hoshuteki.
Au fond d’elle, Komiko était fière du rang de sa mère, mais elle commençait à comprendre ce qui avait entraîné sa mort prématurée. Mais aucune page ne faisait allusion à son père. Jusqu’à la dernière page écrite. Ces mots sont aujourd’hui encore gravés dans la mémoire de Komiko :
6 mars 1986.
« Ayumi m’a dit de surveiller mes arrières. Il parait Qu’un disciple des Kage lui aurait dit que Chiba allait se charger de mon cas ce soir. Je dois rester sur mes gardes. Qui sait ce dont il est capable ? Après ce qu’il a fait à Riku… La pauvre, je pense qu’aucun homme ne pourra plus L’approcher à présent… »
A partir de ces mots, tout devint clair pour Komiko et une seule idée l’obsédait à présent : venger sa mère. Et pour cela, un seul moyen était possible : reprendre le flambeau des Behinime, et anéantir les Kage. Elle arriva donc à Shibuya et y trouva sa place, et même si le chef des Kage n’était plus le même, sa haine envers ce clan restait inchangée. Mais en même temps, comment la jeune femme peut-elle en vouloir aux Kage, alors que dans ses veines coule le sang de l’un des leur ? Cela ne doit jamais être su, par qui que ce soit.
Komiko Hamura
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