Shibuya City
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 Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko]

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Ikura Sasaki
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Ikura Sasaki

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MessageSujet: Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko]   Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko] Icon_minitimeDim 9 Jan - 23:49

« Nous serons plus tranquille chez moi, faites moi confiance Mitsuru. »

Chuchota Ikura avant de l’embrasser gentiment dans les cheveux. La protection lui allait bien, même si, en plein milieu de la ville, ça lui semblait sincèrement étrange de se comporter ainsi. Il ne savait pas ce qu’elle pensait, et au cas où elle lui échapperait, se posant peut être trop de question ou devenant soudainement plus sage, il préférait la rassurer et lui montrer qu’il ne lui ferait aucun mal, se voulant juste bon amant pour une nuit… Sasaki ne put s’empêcher de reprendre ses lunettes de soleil, les retirant du jolie visage de « Mitsuru » pour les mettre sur le sien. Il lui adressa un sourire lorsqu’il les lui enleva. Les lumières de la ville lui faisaient un peu mal aux yeux de toute manière, alors après tout, il avait une raison crédible à dire plutôt que « J’aimerais pas qu’on me reconnaisse et qu’on me ramène au bercail. ». Et puis après tout, c’était les siennes au départ. Sa veste, il lui aurait bien repris s’il n’était pas quelqu’un d’extrêmement galant et bienveillant avec les femmes. En effet, avec sa seul chemise noir au tissu fin, l’air lui paraissait bien froid, et quelques tremblements le prenaient soudainement pendant qu’ils marchaient. Les passants les ignorés royalement, ce qui mettait plus à l’aise le Kage. Il était un peu tendu malgré tout, et la jeune femme devait surement le ressentir. Ikura avait du mal à cacher son stresse lorsqu’il était entouré par trop de monde. Il n’était pas agoraphobe, mais Tokyo et toute cette population l’oppressée rapidement. Les deux jeunes gens arrivèrent enfin à proximité des tours de Shibuya, là où la plupart des habitants de ce gigantesque quartier résidés. Les yeux métalliques de Sasaki, voilés par les verres fumés, se baladèrent rapidement de bâtiment en bâtiment, se demandant où étaient exactement les appartements et lofts qu’il possédait. En moins d’une dizaine de seconde, son cerveau lui indiqua distinctement le vingtième étage d’une tour à leur gauche. Marchant sur le trottoir, il guida « Mitsuru » vers la porte du hall de l’immeuble, s’arrêtant devant. Il la lâcha pour s’occuper de ses poches et y retrouver les clés susceptibles d’ouvrir les portes pour y faire entrer au chaud la délicieuse jeune femme qui l’accompagnait. C’était un bordel monstre: des cartes diverses, des briquets, un paquet de clope, des allumettes, des stylos, des trousseaux de clé… Jusqu’à ce qu’il tombe sur le bon. C’était un petit palet magnétique qu’il fallait passer sur la poignée de porte. Un bruit retentit alors, indiquant que l’accès était déverrouillé. Gentleman, il ouvrit la porte pour laisser la jeune femme passait devant, l’invitant d’un geste de la main à venir. Ikura enleva ses lunettes de soleil, les rangea dans sa poche arrière de pantalon, se passant une main dans les cheveux, nonchalamment, avant d’appeler l’ascenseur. En l’attendant, il se cala contre le mur, regardant avec intensité, pour la première fois en pleine lumière, la dénommé Mitsuru. Son regard était troublant quand il fixait, il le savait et en abusait. Sans un mot, sous un silence de plomb, Sasaki ne cessa de la dévisager, les bras croisés. Il se mordait la lèvre inférieur, pensif. A quoi pensait il ? Bonne question. Surement à la fureur d’Hamika demain quand il se rendra au bureau du Dragon d’Or, ou alors à la suite des choses entre eux deux, peut être à son envie irrésistible de fumer… Ce qu’il voyait l’attiré énormément en tout cas, c’était réel et dévorant, passant au dessus de son désir de nicotine.

« J’espère que la suite comblera vos espérances. »


Déclara-t-il d’une voix suave en montant dans la cage d’ascenseur avec elle, appuyant en passant sur le numéros 20 de la tablette des étages. Vous devinez bien qu’il n’allait pas rester sage jusqu’à l’appartement ! C’est pourquoi il n’attendit même pas que les portes se referment pour attirer la jolie et étonnante Mitsuru contre lui. Avec un sourire qui en disait long sur ses intentions, il entoura la taille de la jeune femme de ses bras, ne se gênant pas le moins du monde pour soulever légèrement le tissu de la robe. Il se posa contre le mur froid de l’ascenseur en mouvement, resserrant son étreinte, les yeux pétillants. Ikura avait sorti son sourire charmeur, se permettant, sans aucun problème, de sauter sur les lèvres délicieuses de Mitsuru. Après tout, c’était ce qu’ils voulaient tout les deux ? Alors pourquoi attendre gentiment d’être dans l’appartement pour se faire plaisir ? Il était toujours bon d’échauffer les esprits et les corps avant de passer à l’acte. Sasaki lui offrit un long baiser langoureux, ses mains voyageant du creux des reins de la jeune femme jusqu’à sa nuque brulante. Il passait évidement en dessous de la veste de soie, sinon toutes ses caresses n’auraient eu aucun sens. Sa respiration était profonde, s’enivrant de la douceur des lèvres de sa compagne, son odeur corporelle qui le faisait frissonner de plaisir… Ses sensations étaient violentes et lui donnaient l’impression d’être dans un état second comme il n’avait plus été depuis de longues années avec d‘autre fille. Ikura avait chaud, et plus les étages défilés, plus son excitation grandissait. Un désir et un plaisir pareil était il autorisé en un seul baiser ? Pourtant le vingtième étages vint vite, et ils durent calmer le jeu, si l’on peut dire. Son cœur se serra étrangement quand il du la lâcher. Se sentait il tout simplement bien avec elle sans qu’ il ait réellement besoin de lui parler ? Il était vrai qu’ils n’avaient eu pour le moment que peu de conversation. Mais ça ne lui semblait pas être une obligation. Sasaki savait qu’ils y viendraient, qu’il se ferait surprendre peut être par une conversation vive et intéressante. Elle n’avait pas l’air idiote, loin de là. Peut être pour ça qu’il la voulait bien plus que d’autre fille pour cette raison là. Les yeux de cette femme lui parlait beaucoup.

« Venez. »

Ikura prit la main de « Mitsuru » et l’entraina à sa suite dans le couloir de l’immeuble. C’était le moment le plus délicat… Il fallait désormais se rappeler de la bonne porte. Aucun doute ne se lu sur son visage, car il y alla à l’instinct. Toujours chanceux dans les moments les plus difficiles, la clé qu’il sortit entra bien dans la serrure et déverrouilla la porte de l’appartement. Gentleman, il ouvrit celle-ci, laissant entré son invité en première dans les lieux. En refermant, il se mit à sourire de satisfaction et de contentement. Sasaki se rappelait de l’endroit avec exactitude désormais. C’était pratique, et il avait vraiment une chance extraordinaire, car il pourrait sans problème lui indiquer les pièces et d‘autre chose encore.. En général, son instinct ne le trompait jamais vous savez. Alors, pourquoi ne pas avoir sentit le danger quand il l’a entendu dans la ruelle ? Probablement parce qu’il n’y en aura pas entre eux deux, mais autour d’eux. Les questions viennent déjà pour moi. La suite sera mouvementée et passionnante, peut être le sentait il, et que c‘est ça qui l‘excitait à propos de leur rencontre. Quelque chose en ressortirait…
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Komiko Hamura
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Komiko Hamura

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MessageSujet: Re: Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko]   Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko] Icon_minitimeJeu 27 Jan - 1:11

Les bruits de pas se faisaient de plus en plus pressants au fur et à mesure qu’ils s’approchaient d’eux. Komiko n’eut ni le temps ni le besoin de réfléchir à un plan d’évasion que son compagnon l’attrapa par la hanche et l’entraîna avec lui dans une course folle à travers les ruelles du quartier, jusqu’à arriver dans le centre de Shibuya, où ils purent ralentir la cadence, se plongeant dans la foule tel un couple ordinaire déambulant sous les lampadaires froids du quartier le plus peuplé de Tokyo. Le cœur de notre reine battait la chamade, mais elle ne savait pas vraiment quelle était la cause exacte de ce petit désagrément. Était-ce à cause de la course qu’ils venaient de faire ensemble ? Le stress d’être découverte et surtout reconnue par ceux qui les poursuivaient ? Ou encore, était-ce cette sensation étrange qui l’envahissait chaque fois que le dénommé Matsuhiro posait son regard métallique sur elle avec son sourire charmeur ? C’était étrange oui, tout était étrange depuis qu’elle avait abordé ce parfait inconnu un peu plus tôt. Cet homme n’était pas n’importe qui, elle en était certaine. Mais de là à tomber sous le charme du chef d’un clan rival… jamais !

Sentir les mains frôler ses hanches à chacun de leurs pas provoquait une sensation de plus en plus étrange chez notre jolie Komiko. Son cœur se serrait presque chaque fois qu’il lâchait prise, et elle mourait d’envie d’être dans un lieu plus intime pour lui faire comprendre et lui prouver à quel point elle voulait ses lèvres, sa peau et tout le reste. Ses vœux seraient bientôt exaucés puisque son futur amant l’emmenait à présent vers les tours de Shibuya, après lui avoir précisé qu’il l’emmenait chez lui. Le baiser qu’il lui prodigua dans ses cheveux lui fit fermer les yeux. Son geste était étonnement tendre, un peu à la manière d’un couple amoureux. Tout était vraiment étrange, et le devenait de plus en plus au fur et à mesure que les minutes passaient.

Lorsqu’il lui reprit ses lunettes de soleil, la belle plissa quelques instants les yeux, aveuglée par les néons et les écrans géants projetant des publicités colorées. Cependant, elle pouvait à présent profiter pleinement de la beauté de l’homme qui l’accompagnait en pleine lumière, et sourit doucement en posant les yeux sur lui, tout en continuant de marcher silencieusement à ses côtés. Ses cheveux blonds platine voletaient au rythme de ses pas, et sa peau pâle contrastait à merveille avec sa chemise noire, brillant encore plus sous les lampadaires de la ville. Un parfait gentleman, sous toutes les coutures. Komiko se sentait fière de déambuler dans la foule aux côtés d’un homme aussi classieux, et elle sentait bien que certains regards envieux se posaient sur eux, bien que la plupart du temps ils passaient inaperçu, tel un couple ordinaire. Un couple… quel drôle d’idée. Comme s’ils finiraient leurs vieux jours ensemble, ou resteraient ensemble après cette nuit… Notre reine refusait encore de se l’avouer, mais elle souhaitait le revoir par la suite, sa fierté l’empêchant juste pour le moment de l’accepter. Bref, pour le moment, il fallait penser à l’instant présent, et profiter de chaque secondes à ses côtés au maximum. C’est ce qu’elle pensa au moment où « Matsuhiro » s’arrêta au pied d’une tour et en ouvrit la porte, l’invitant à entrer dans le grand hall d’entrée.

Au vue de la résidence, cette dernière semblait être réservée à une classe assez élevée de tokyoïtes, confortant notre Benihime dans l’idée que l’homme avec qui elle passerait le reste de sa soirée était loin d’être n’importe qui. Costume de soie, appartement dans une luxueuse résidence, lunettes de marque… il avait de l’argent c’était certain. Mais de là à en déduire que c’était un yakuza, non. Elle n’avait pas encore assez de preuves pour pouvoir conclure une telle chose. Peut-être que cela finira par venir, ou pas. Si cela se trouvait, il n’était qu’un simple et honnête citoyen, du genre homme d’affaires. Mais quelque chose au fond de Komiko lui demandait de rester sur ses gardes, au moins un minimum. Têtue comme une mule et incapable de penser normalement lorsque le regard gris de son compagnon se posait sur elle, elle ne faisait plus attention à son instinct, se contentant de contenter le désir qui brûlait un peu plus en elle chaque fois qu’il lui souriait. Le jeune homme appela l’ascenseur, et resta immobile, dévisageant en silence Komiko qui en faisait de même, se retenant du mieux qu’elle le pouvait de ne pas lui sauter dessus. Cette fois, elle attendrait qu’il prenne des initiatives, elle le récompensera certainement par la suite. Sourire en coin, la jeune femme sentait qu’elle n’aurait pas à attendre trop longtemps pour obtenir ce qu’elle voulait, à en juger par le regard brûlant que lui lançait son amant. Comme pour confirmer ses pensées, la porte de l’ascenseur s’ouvrit enfin, les invitant à entrer. Comme pour la porte d’entrée, la jeune femme entra en premier, suivie de près, très près par le propriétaire de l’appartement vers lequel ils se dirigeaient. Ce dernier appuya sur le vingtième étage de la tablette, avant de tourner vers Komiko qui lui sourit, lui lançant un regard provocateur en comprenant les intentions que le jeune homme avait à son égard. Un quart de seconde plus tard, Komiko se trouvait dans les bras de son amant, ses lèvres contre les siennes. La manière presque sauvage dont le jeune homme l’avait attrapé émoustilla notre reine, qui répondit avec plus d’ardeur à ses baisers, passant sa main dans sa nuque et déboutonnant le premier bouton de la chemise noire. Elle mourait d’envie de la lui retirer, mais attendrait sagement d’être à l’intérieur de l’appartement pour le faire.

Le vingtième étage atteint, ils durent se lâcher à contrecœur afin d’entrer sur le palier. Le jeune homme lui prit la main, ce qui provoqua une fois de plus une sensation étrange en Komiko. Un geste si banal, mais si tendre… Il n’était pas obligé de lui prendre la main, elle aurait pu tout simplement le suivre en silence jusqu’à la porte de l’appartement. Mais non, il lui avait prit la main. C’en était trop, la jeune femme réfléchissait trop, les effets de l’alcool commençant lentement à se dissiper. Arrivés devant la porte de l’appartement du dénommé Matsuhiro, ce dernier prit quelques minutes à chercher ses clés à l’intérieur de ses poches, avant d’entrer celles-ci dans la serrure et déverrouiller la porte, laissant une fois de plus Komiko entrer en première. Rien à redire sur l’attitude de cet homme, c’était un parfait gentleman. Notre jeune demoiselle entra lentement, observant en vitesse les lieux une fois que les lumières furent allumés. L’appartement était spacieux, clair et parfaitement rangé. Un homme ordonné… c’était si rare. Elle qui pensait que tous les hommes étaient de gros bordéliques, son garde du corps en étant le parfait exemple. Ce ne semblait pas être le cas de son amant. Décidément, ce dernier avait tout pour la désarçonner, et elle n’était sans doutes pas au bout de ses surprises. Oh non Komiko, tu n’es certainement pas au bout de tes surprises ! Le pire reste à venir je te le garantis.

Continuant de repérer les lieux pour sa future fuite, la jeune reine remarqua un grand canapé couleur chocolat, et sourit malicieusement. Elle venait de trouver l’endroit où son compagnon allait perdre sa chemise. D’ailleurs, ce dernier venait de fermer la porte de l’appartement et se trouvait à présent juste derrière elle. Elle se retourna afin de lui faire face, lui sourit avec un regard qui en disait long sur ses intentions, puis recula lentement, très lentement, vers le fameux sofa, proposant à son amant de la rejoindre en lui faisant signe du doigt. Ce dernier accepta, et une fois à quelques centimètres d’elle Komiko l’agrippa par la nuque et lui offrit un nouveau baiser brûlant, prenant le temps de profiter du goût délicieusement chaud et sucré de ses lèvres, caressant lentement sa peau. Puis elle le força à se tourner de manière à ce que ce soit à présent lui qui soit de dos au canapé, avant de le pousser en douceur vers ce dernier, ne le lâchant pas des lèvres. Elle se trouvait à présent à califourchon sur lui, prenant tout son temps, prolongeant indéfiniment le baiser en s'écartant juste le temps de laisser son partenaire respirer avant de reprendre ses lèvres, explorant, goûtant, savourant la bouche brûlante de son merveilleux amant en lui lançant des regards brûlants, puis reprit possession de ses lèvres tout en descendant lentement ses doigts fins vers son cou, puis ses omoplates, et enfin son torse, où elle continua de retirer un à un les boutons l’empêchant d’explorer un peu plus la peau douce et chaude de son amant. Une fois la chemise totalement ouverte, la jeune femme tira sur celle-ci pour la sortir de son pantalon puis la faire glisser sur ses épaules. Avant de l’envoyer voler un peu plus loin, embrassant à présent le cou de « Matsuhiro ». La jeune femme fondit sur sa cible : cette chair tendre où elle fit courir la pointe de sa langue – une torture presque insoutenable pour sa victime dont le corps se tendit comme un arc – avant d'y appliquer ses lèvres voraces, assez haut pour que le suçon soit bien visible. Elle remonta ensuite vers sa bouche sans s'y attarder, obliquant vers son oreille qu’elle chatouilla de son souffle :

-Je risque de mettre un peu de désordre dans cet appartement, en envoyant voler les vêtements un peu partout… Mais si tu es sage peut-être que demain matin je jouerai la soubrette et rangerai tout à sa place…

Non. Évidemment, elle n’avait aucunement l’intention de faire quoi que ce soit dans cet appartement le lendemain matin, pour la simple et bonne raison qu’elle se serait déjà envolée depuis longtemps. Les petits déjeuners dans les caleçons de ses amants, ce n’était définitivement pas pour elle. Mais elle n’allait tout de même pas lui dire maintenant, il en était hors de question. Pourquoi penser à la fin alors qu’ils venaient à peine de commencer sérieusement à jouer ? Komiko embrassa à nouveau les lèvres brûlantes de son compagnon, s’enivrant du parfum de sa peau qui lui parvenait pleinement maintenant l’obstacle de tissu jeté au loin, ouvrant un peu plus la bouche pour laisser place à une langue possessive. Cet homme avait vraiment un drôle d’effet sur elle, un peu semblable à un puissant aphrodisiaque. Elle mourrait d’envie d’aller plus loin, mais désirait en même temps prendre tout son temps, parcourir chaque centimètre de son corps, l’explorer jusqu’à le connaître par cœur. Elle voulait lui offrir un souvenir inoubliable, peut-être –et même surtout- pour lui donner envie de la revoir.


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Ikura Sasaki
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MessageSujet: Re: Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko]   Il n'est pas bon de dormir avec le Diable [PV Komiko] Icon_minitimeDim 7 Oct - 15:54

C’est en fermant la porte derrière lui qu’il celait sa vie sous clé. Quelle belle image ! Le loquet tourna bruyamment après que les clés aient tinté en cognant contre la porte. Il eut le temps de se poser une dernière question intérieurement avant de se tourner vers elle. Sasaki se demanda simplement s’il savait ce qu’il faisait. La réponse fut rapide et efficace. Pour lui, il avait pleinement conscience du fait qu’il allait coucher avec une Behinime. La faute n’avait pas l’air grave. Si elle ne se rendait compte de rien et qu’elle était, par chance, affreusement naïve même sans alcool, il n’avait pas à s’inquiéter. Le mieux était qu’à partir de maintenant, il valait mieux pour lui, comme pour elle, qu’ils ne se posent plus aucune question. Ikura ré analysa les événements une dernière fois par soucis d’ordre, comme d’habitude. Il espérait juste qu’elle ne trouve pas ses faiblesses physiques trop rapidement. Monsieur a ses petits points sensibles vous comprenez, sauf que certains donnent quelque chose de positif, et d’autre de négatif dans ses réactions. Une chose importante à savoir: une fois que ses partenaires ont franchis la porte de chez lui, il apprécie qu’elles s’enflamment et prennent les devants le premier soir. C’est une petite technique qu’il utilise en restant passif, cela lui permet de les faire apprécier le moindre geste doux qu’il leur adressera par la suite. Elles sont parfois frustrées de le voir inactif dans les préliminaires, pour certaines c‘est l‘inverse. Il y en a qui adore maîtriser les choses ! Dommage pour elles, mais il lui arrive souvent de changer radicalement de comportement les fois suivantes. Ikura énerve, ça le passionne de voir ses partenaires mécontentes. Ça empêche qu’elles s’attachent trop, ou bien elles en redemandent malheureusement. Sasaki trouve les femmes un peu masochistes, à croire que plus on les mords avec violence, plus elles vous aiment. Excusez le d’avoir des idées un peu extrême, il cherche avant tout à faire en sorte qu’elles s’éloignent et se rapprochent en même temps de lui. Il ne donne jamais vraiment le coup de grâce, elles se le font elle-même en général, histoire de ne plus trop souffrir de ses cachoteries, de ses tromperies à droite à gauche, de son mystère pesant, de ses silences, de sa distance... Ikura n’est pas fidèle pour un sous de toute manière. La dernière fois qu’il a dû l’être, cela doit remonter à avant ses vingt ans. Il apprécie la gente féminine, mais ne veut pas d’attache. D’après lui c’est se suicider à petit feu que d’aimer. Paradoxale, il fume comme un pompier, si ça se n’est pas se brûler de l’intérieur littéralement ! Mais ça lui fait moins peur de mourir d’un cancer que de tomber dans une profonde dépression à cause d’une femme volage, qu’il aimera de toute son âme, qui le rejettera, et à la fin, pour laquelle il se plombera la cervelle.

Sasaki jeta ses clés sur le meuble en bois de l’entrée, appréciant au passage la décoration agréable des lieux. Hamika faisait vraiment un boulot de dingue. Il savait pertinemment qu’elle se devait de maintenir ses multiples chambres en état, rangées, ordonnées et propres. Bravo, c’était quelque chose de peu évident. Elle connaissait ses goûts. Discrètement alors que sa partenaire pour la nuit découvrait les lieux, il passa un doigt sur la commode pour vérifier s’il y avait ou non de la poussière. Un rictus de mécontentement rapide se dessina sur son visage pâle. Demain matin il ferait le ménage de fond en comble à part si la belle « Mitsuru » décide de rester pelotonner contre lui jusqu’à midi. Ikura releva ses yeux gris métalliques vers Mitsuru, un sourire en coin lorsqu’il vit l’expression de visage de la jeune femme. Il ôta ses gants et mit ses mains dans les poches de son pantalon, avançant nonchalamment vers le canapé. Oh il avait bien compris qu’aller directement dans la chambre n’était pas dans les idées de la jeune femme. Ils s’embrassèrent, Sasaki se sentit frissonner quand elle passa ses douces mains sur sa nuque. L’envie de la toucher le dévorer alors qu’il retenait fermement ses mains à rester dans ses poches. Il se torturait en se satisfaisant uniquement pour le moment des lèvres ardentes et tendres qui s’offraient à lui. Elle le guida doucement, le faisant tourner sur place avec elle pour qu’Ikura se retrouve coller contre le canapé à sa place. « Mitsuru » avait les cartes en main et allait s’en donner à cœur joie. Ils tombèrent ensemble délicatement sur le sofa. Sasaki dût enfin extraire ses mains de ses poches et les glissa sous la robe de la jeune femme. Ses cuisses étaient chaudes et il ne pu se retenir de la caresser doucement en remontant jusqu’à ses fesses. L’avoir au dessus de lui, se retrouvant dans une position sexuelle idéale, l’excitait énormément. Elle l’embrassait avec une telle fougue et un tel désir qu’il se demandait presque si elle n’allait pas le dévorer sur place. Si il s’était regardé faire, il aurait compris qu’il n’était pas mieux. Son regard calculateur et froid s’était évaporé. Une douceur touchante émanait de son visage. Son regard gris n’avait plus l’air aussi glacial qu’avant, à croire que sa carapace diminuait dépeceur à chaque baisers de la Behinime. Il ne désirait pas seulement son plaisir mais surtout celui de « Mitsuru ». En général il ne s’en souciait pas. Ce soir Sasaki se sentait envelopper par le parfum si particulier de cette beauté. Une nuit avec elle ne lui suffirait pas, il sentait son cœur chanceler dangereusement, proche d’une sorte d’arrêt cardiaque. Il se sentait vivre avec elle, sentiment qu’il ne ressentait plus depuis des années. Ikura comprit soudain qu’il souriait en la sentant défaire sa chemise. Il se redressa pour l’aider à la lui ôter, se retrouvant en position assise, il en profita pour la remonter sur lui en la prenant par la taille. Une vraie vampire cette fille ! Elle sauta sur son cou, endroit très sensible pour le Kage qui ne pu s’empêcher de se crisper légèrement.

- Pas de suçon !

S’agaça-t-il alors qu’il faisait doucement glisser sur les épaules les bretelles de la robe légère de sa jolie partenaire. Trop tard. Il leva les yeux au ciel, laissant échapper un rire amusé et exaspéré. Vu là où elle le lui avait placé, son clan saurait immédiatement ce qu’il a fait de sa nuit en le voyant débarqué le lendemain. Bêtement il se dit qu’il mettra une grosse écharpe, voir une minerve… et qu’il allait se venger. Elle vint lui susurrer alors au creux de l’oreille:

-Je risque de mettre un peu de désordre dans cet appartement, en envoyant voler les vêtements un peu partout… Mais si tu es sage peut-être que demain matin je jouerai la soubrette et rangerai tout à sa place…

Sasaki esquissa un sourire, caressant lentement le dos et la nuque de « Mitsuru ». Il commençait à brûler d'envie de la lui retirer cette maudite robe. Torse nu, il attendait qu'elle fasse en quelque sorte de même. Peau contre peau, pouvoir la toucher complétement et la connaître enfin comme il le désire... Ses lèvres vinrent frôler à son tour le lobe de l'oreille de la belle, lui donnant une réponse galante d'une voix suave:

-Le désordre des femmes est toujours plus ordonné que celui des hommes, je ne m'en fais pas. Pour le moment soyez juste mon amante, mon songe pour ce soir. Le matin est encore loin.

Quelle heure était il de toute manière ? Combien de temps leur restait il ? Ikura ne voulait pas y penser. Vivre l'instant présent est une bénédiction. Lui qui souffrait de penser trop au passé et au futur, il souhaitait alors lâcher prise et ne s'occuper que d'elle. Il sentait bien qu'elle n'était pas forcément très sérieuse dans ses propos, ces histoires de soubrette, de lendemain matin. Ce n'était pas une femme qui tombait amoureuse en un claquement de doigt, qui vivait son premier coup d'un soir et qui allait donc rester blottie contre lui jusqu'au début d'après-midi en minaudant des mots doux, accrochée comme une glu à lui. Non, bien au contraire, elle savait y faire et connaissait les règles de ce type de rencontre. Elle était comme lui. Sasaki ne comprenait pas pourquoi mais une question lui brûlait les lèvres : « Était-elle aussi malheureuse que lui ? » Un jour sa petite secrétaire, Hamika, lui avait expliqué les yeux embués de larmes qu'elle avait l'impression qu'il était malade. Elle le voyait tout les soirs sortir avec une nouvelle femme à son bras, coucher avec et s'en débarrasser. Il n'avait pas compris en quoi cela pouvait être une maladie. En y réfléchissant Hamika avait peut être raison. Les gens qui couchent à droite à gauche sont tout simplement malheureux en amour.
Ikura resserra son étreinte lorsqu'elle l'embrassa de nouveau, savourant la tendresse et la chaleur des lèvres de la Behinime, les bras de celle-ci autour de son cou. Lentement il remonta sa main droite sur le dos joliment cambré de son amante pour aller dégrafer son soutien-gorge et en faire glisser les bretelles pour le retirer. Celui-ci vola à son tour dans l'appartement. Il fit de même avec sa ceinture. Ikura ne pouvait pas attendre d'aller dans la chambre, la tension sexuelle entre eux deux était tel que ça en devenait insupportable pour lui. La poitrine généreuse de cette fille contre son torse lui faisait perdre tout sens moral. Il fit glisser la Behinime sur le côté pour se retrouver au dessus d'elle en baisant son cou, lui offrant à son tour un suçon bien placé et très voyant. Un léger rire de contentement s'échappa de sa gorge. Ils étaient tout les deux marqués par l'empreinte de l'autre. Il lui appartenait et elle lui appartenait... Ikura se retint de grimacer en pensant à ça et puis oublia immédiatement cette idée en défaisant son pantalon, frissonnant sous les caresses de la jeune femme sur son torse. Son regard se perdit sur le corps de sa partenaire, découvrant sans surprise le tatouage des Behinime au dessus de son sein gauche. Aucune réaction ne s'afficha sur son visage, son tatouage à lui était au creux de ses reins, à moins de lui tourner le dos il n'y avait aucun risque qu'elle le voit. Sasaki vida ses poches, y trouvant les quelques préservatifs qu'il cherchait. Inutile certainement de raconter la suite, une petite ellipse s'impose jusqu'au lendemain matin. Leur intimité ne regarde qu'eux.

Aux alentours de sept heures du matin, dans la chambre de l'appartement de fonction d'Ikura, la lumière automnale commençait doucement à éclairer les deux corps allongés, encore transpirant. Un simple drap léger les recouvré. Lui, allongé sur le dos, dormait apparemment profondément, sa douce respiration laissait transparaître une grande fatigue. Elle, sublime, allongée sur lui comme deux amoureux de longues dates, à croire qu'elle s'était endormie juste après son dernier cri de plaisir, avait sa tête contre son torse. Ses cheveux défait ondulés sur le corps de son amant. Il y avait glissé inconsciemment sa main droite, geste très tendre et en même temps possessif. Son désir était loin d'être éteint, il sentait encore une flamme intense dans son bas-ventre. Les autres femmes n'avaient en général plus d'intérêt pour lui une fois son plaisir acquis. Avec « Mitsuru » c'était différent, comme avant...
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